La Commission canadienne des droits de la personne demande aux autorités gouvernementales d'agir afin de répondre aux rapports inquiétants selon lesquels le froid extrême et le variant Omicron menacent de submerger les refuges pour sans-abri à travers le Canada.
Le Service correctionnel du Canada (SCC), la Commission canadienne des droits de la personne (CCDP) et les Prisoners' Legal Services (PLS) ont finalisé une entente de collaboration visant à améliorer les services de santé destinés aux personnes sous la garde du SCC qui sont aux prises avec un trouble lié à la consommation d'opioïdes. Ces améliorations ont été apportées en réponse à la crise des opioïdes et afin d'aider à régler une plainte déposée auprès de la CCDP par les PLS.
En cette Journée nationale du logement, la crise du logement au Canada est plus préoccupante que jamais. Il est inacceptable dans un pays comme le Canada qu’un nombre croissant de personnes soit en situation d’itinérance, expulsé de leur logement ou ne parvienne pas à trouver de logement abordable.
Aujourd’hui, en cette Journée internationale des femmes, nous célébrons les femmes et soulignons leur contribution inestimable à la famille, à la société, au pays et partout dans le monde. Les Canadiennes continuent d’être la force motrice de notre pays – en tant que bâtisseuses communautaires, créatrices, cheffes d’entreprise, éducatrices, scientifiques, mères et travailleuses de première ligne.
La Semaine nationale de l’accessibilité nous donne l’occasion de célébrer la précieuse contribution des personnes handicapées. C’est aussi l’occasion de réaffirmer notre engagement envers l’inclusion et l’élimination des obstacles qui entravent l'accès aux soins de santé, à la sécurité économique, à l'information, aux produits et services, aux transports, à l'éducation et à l'emploi pour les personnes handicapées.
La Commission canadienne des droits de la personne demeure très préoccupée par la loi québécoise intitulée : Loi concernant la laïcité de l’État qui demeure en grande partie en vigueur à la suite de la décision rendue aujourd'hui par la Cour supérieure du Québec.
Tout au long de l’année 2020, la pandémie mondiale a changé presque tous les aspects de la vie au Canada. À cause d’elle, nous avons été séparés des membres de notre famille, de nos amis et de nos collègues. Cependant, c’est aussi en raison de cette pandémie que nous nous sommes unis dans un objectif commun.
Les enjeux de droits de la personne auxquels sont confrontés : les Premières Nations, les Inuits et les Métis, comptent parmi les questions en matière de droits de la personne les plus urgentes au pays. La mise en œuvre de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, notamment par l’adoption du projet de loi C-15 par le Parlement, constituerait une importante avancée pour la promotion et la protection des droits des peuples autochtones au Canada. L’adoption de ce projet de loi témoignerait clairement de l’engagement du Parlement à faire progresser la réconciliation.
Les évènements de l’année ont mis en lumière la nécessité pour les Canadiens et les Canadiennes de réfléchir aux privilèges accordés aux Blancs, au racisme systémique profondément ancré ainsi qu’aux préjugés raciaux qui continuent d’exister au Canada et qui contribuent à l’injustice et l’inégalité.
La Commission canadienne des droits de la personne condamne la violence perpétrée envers les Sipekne’katik et les Mi’kmaq sur le territoire Mi’kma’ki, et suit de près la situation. Les menaces, les attaques, les agressions et la destruction de propriétés sont perturbantes et illustrent visuellement le racisme systémique et l’intolérance à l’égard des Autochtones qui persistent toujours.